Dans l'effondrement
quelque chose se déchire,
comme un homme qui fait sauter
les boutons de sa chemise trop étroite.
Lueur du soleil couchant
sur un mur,
Eclaircie à la mesure
du passage d'une porte
toujours ouverte
mais que l'on ferme
sans savoir vraiment pourquoi.
Je cherche encore des mots
mais un échange de regards suffirait,
une main que l'on serre
et que l'on trouve chaude et accueillante.
Je cherche encore des mots
alors que les flammes
dans la cheminée
ont déjà tout raconté.
Pourquoi parfois tout est-il si compliqué alors que nous pourrions être paisible ? Il y a bien longtemps que nous nous lisons François. D'une certaine façon nous nous tenons un peu la main :)
RépondreSupprimerMerci Christine ! Ton message me touche beaucoup ! Bonne semaine !
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RépondreSupprimerÊtre, seulement être, là, dans le silence habité des résonances du monde, patiemmenr, sans attendre. Et dans l'ombre, la vie
RépondreSupprimerOui la vie, et l'élan d'amour vers la vie ! Merci jean pour ton passage !
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