Sur les hauts plateaux du Cézalier,
partout est l'espace.
Cela s'espace en moi
à voir le large
et les lignes douces,
la lumière, la neige.
Là-bas, on voit
le vent par les arbres
qu'il a sculpté.
Et les nuages paraissent
montagnes
et inversement.
C'est étrange
que là où il n'y a rien,
on se sent plus proche
de son humanité.
Des bienfaits du dénuement. Tant nous sollicite en permanence !
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