J'accueille un présent
dans le présent.,
présent que je ne retiens pas.
Comment le pourrais-je ?
L'image n' a rien saisi.
Mais j'ai compris
le vrai désir de mon cœur.
l'oiseau a disparu.
Et si je ferme les yeux,
que reste-t-il ?
Des pensées.
Et d'ou viennent-elles ?
Je m'abandonne
J'abandonne toutes les contractures,
tous les refus des présents
du présent.
Waouh ! Le présent fixé dans ce majestueux envol du héron, les reflets dans l'eau.
RépondreSupprimerPure poésie des mots et de l'image.
Merci François. Belle journée pêcheur de beau.
Merci Suzanne !
SupprimerMerci Suzanne !
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