Grand-mère avec les années
ta tête penchait un peu.
Mais ton regard comprenait
sans paroles.
Partout le discours
me cernait.
Partout le sermon.
Mais toi, tu me regardais
et cela suffisait.
Et devant ta photo
je comprends
que tu avais compris
Et ceux qui ne comprendront pas
ce que j'écris
ne comprendront jamais.
Devant un tel regard les mots pâlissent...
RépondreSupprimerMerci François.