Dimanche matin.
Silence assourdissant
dans les rues.
les pigeons ne respectent pas
la distanciation sociale.
Ils ont l'air
un peu abasourdis
de trop de calme.
Je marche dans l'avenue vide.
Les voitures qui passent
deviennent des curiosités.
Je suis né hier
comme tout le monde.
Je vais naître demain
dans l'inconnu.
Un printemps livré au oiseaux qui prennent leurs aises, c'est beau à voir !
RépondreSupprimerNous avons bien le temps de voir demain, profitons d'aujourd'hui inédit.
Bien vrai ! Merci Christine !
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